Lecture de l’Apocalypse de saint Jean
Moi, Jean,
j’ai vu :
et voici que l’Agneau se tenait debout sur la montagne de Sion,
et avec lui les cent quarante-quatre mille
qui portent, inscrits sur leur front,
le nom de l’Agneau et celui de son Père.
Et j’ai entendu une voix venant du ciel
comme la voix des grandes eaux
ou celle d’un fort coup de tonnerre ;
mais cette voix que j’entendais
était aussi comme celle des joueurs de cithare
qui chantent et s’accompagnent sur leur cithare.
Ils chantent un cantique nouveau devant le Trône,
et devant les quatre Vivants et les Anciens.
Personne ne pouvait apprendre ce cantique
sinon les cent quarante-quatre mille,
ceux qui ont été rachetés et retirés de la terre.
Ceux-là suivent l’Agneau partout où il va ;
ils ont été pris d’entre les hommes,
achetés comme prémices pour Dieu et pour l’Agneau.
Dans leur bouche, on n’a pas trouvé de mensonge ;
ils sont sans tache.
– Parole du Seigneur.