Seigneur, nous te confions les jeunes qui devaient s’engager dans le sacrement du mariage, pendant cette période de confinement. Que cette attente les aide à faire grandir leur couple.
Seigneur, nous te confions les catéchumènes qui attendent d’être baptisés. Aide les à vivre ce temps de l’attente, accompagnés par la prière.
Seigneur, nous te confions nos communautés chrétiennes privées du sacrement de l’Eucharistie. Que les négociations de nos évêques avec les pouvoir publique permettent à des petites communautés de se rassembler autour de toi, pour être nourris de ton corps et de ton sang.
GRÂCE MAT’ A LA MAISON
Au vu du grand succès de la GRACE MAT de dimanche dernier nous nous retrouverons le Dimanche 3 Mai pour une nouvelle GRACE MAT’ depuis la maison.
- Rendez-vous Dimanche à 9h45 : sur le site de la GRÂCE MAT’ CLIQUER ICI. Ensuite, laissez-vous guider !
PREMIÈRE LECTURE
« Voici de l’eau : qu’est- ce qui empêche que je sois baptisé ? » (Ac 8, 26-40)
Lecture du livre des Actes des Apôtres
En ces jours-là,
l’ange du Seigneur adressa la parole à Philippe en disant :
« Mets-toi en marche en direction du sud,
prends la route qui descend de Jérusalem à Gaza ;
elle est déserte. »
Et Philippe se mit en marche.
Or, un Éthiopien, un eunuque,
haut fonctionnaire de Candace, la reine d’Éthiopie,
et administrateur de tous ses trésors,
était venu à Jérusalem pour adorer.
Il en revenait, assis sur son char,
et lisait le prophète Isaïe.
L’Esprit dit à Philippe :
« Approche, et rejoins ce char. »
Philippe se mit à courir,
et il entendit l’homme qui lisait le prophète Isaïe ;
alors il lui demanda :
« Comprends-tu ce que tu lis ? »
L’autre lui répondit :
« Et comment le pourrais-je
s’il n’y a personne pour me guider ? »
Il invita donc Philippe à monter et à s’asseoir à côté de lui.
Le passage de l’Écriture qu’il lisait était celui-ci :
Comme une brebis, il fut conduit à l’abattoir ;
comme un agneau muet devant le tondeur,
il n’ouvre pas la bouche.
Dans son humiliation,
il n’a pas obtenu justice.
Sa descendance, qui en parlera ?
Car sa vie est retranchée de la terre.
Prenant la parole, l’eunuque dit à Philippe :
« Dis-moi, je te prie : de qui le prophète parle-t-il ?
De lui-même, ou bien d’un autre ? »
Alors Philippe prit la parole
et, à partir de ce passage de l’Écriture,
il lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus.
Comme ils poursuivaient leur route,
ils arrivèrent à un point d’eau,
et l’eunuque dit :
« Voici de l’eau :
qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé ? »
Il fit arrêter le char,
ils descendirent dans l’eau tous les deux,
et Philippe baptisa l’eunuque.
Quand ils furent remontés de l’eau,
l’Esprit du Seigneur emporta Philippe ;
l’eunuque ne le voyait plus,
mais il poursuivait sa route, tout joyeux.
Philippe se retrouva dans la ville d’Ashdod,
il annonçait la Bonne Nouvelle
dans toutes les villes où il passait
jusqu’à son arrivée à Césarée.
– Parole du Seigneur.